Art Critique accueille un deuxième dossier thématique constitué par des chercheurs. Intitulé « Visage(s) à contrainte(s) : le portrait à l’ère électro-numérique », ce dossier coordonné par Vincent Ciciliato (artiste et Maître de conférences en Arts numériques à l’Université Jean Monnet de Saint-Étienne) a pour but de confronter la représentation du visage (et plus particulièrement le genre classique du portrait) à sa médiatisation technique. La période choisie – des années 1960 à aujourd’hui – tend à circonscrire un cadre historique dans lequel les technologies électroniques et électro-numériques semblent s’imposer massivement dans les modalités de construction et de réception des œuvres. Cette imposition technologique nous fait donc avancer l’idée de « visages à contraintes », au travers de laquelle se tisse ce lien d’interdépendance (« contrainte », de constringere : « lier ensemble, enchaîner, contenir »), de réciprocité immédiate, entre opération technologique et émergence de nouvelles visagéités. Aujourd’hui, nous publions une contribution de Raphaël Fabre.
Le 7 avril 2017, je suis allé faire renouveler ma carte d’identité à la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris. Tous les papiers étaient en règle, la procédure s’est déroulée sans obstacles. Cependant une anomalie était glissée dans le dossier : ma photo d’identité était en réalité une image artificielle, un modèle 3D. Fabriquée sur Blender et Photoshop, il ne s’agissait pas d’un traditionnel photomaton, mais d’un artefact produit comme un personnage de jeu vidéo, comme une CGI[1] de cinéma, Computer Generated Image. Un mois plus tard, je recevais ma Carte Nationale d’Identité, délivrée par le gouvernement français. L’image qui me représente pour l’administration est un avatar.
Il ne s’agit pas d’une fausse carte, d’un faux papier. Le document est officiel, forgé par l’état, les informations sont toutes justes et vérifiées. Elle présente juste un glitch visible, qui nous regarde froidement comme nos expressions neutres de photomaton. Je l’ai toujours aujourd’hui, validant mon existence bureaucratique quand mon corps, lui bien réel, ne suffit pas.
Presque dix ans après, je me demande ce que cet objet peut signifier dans un monde sous haute surveillance, aux frontières hautes et grotesques, et dans une sphère virtuelle fortifiée.
Anatomie d’une coquille
Commençons par la construction technique de ce visage, et par une mise en contexte. Le portrait n’est pas intégralement numérique, des photos de mon portrait à hauteur de buste sont projetées sur le modèle pour en créer les textures. De nombreux artistes 3D, comme KrisKosta[2] d’ILM ou Blu1304[3], sont parfaitement capables de minutieusement reproduire des visages humains photoréalistes, mais ce n’est pas le cas ici. CNI est bien un avatar. Ont été utilisées les méthodes de VFX et de jeu vidéo, mais on a gardé une part d’accroche au réel par l’utilisation des prises de vues initiales. C’est une coquille vide, sans corps, mais son enveloppe contient encore une matière« véritable », indexielle.
Pour pallier ce décalage, la sculpture virtuelle commence par un cube. L’objet basique de tous les logiciels 3D, un simple cube à six polygones, est développé et modifié, ex nihilo, pour former petit à petit un semblant de visage. En modélisation de subdivision, on ajoute des lignes et des points à ce cube, petit à petit, pour le former en autre chose de plus complexe. Étant plus bricoleur qu’expert à ce stade, je passe à la sculpture dès que le volume a une forme grossière de crâne. Dans cette étape, on « peint » en volume. Chaque pinceau de Blender[4] ou ZBrush[5] agit comme une coupe ou un ajout de matière, en symétrie. Petit à petit ce qui ressemblait à une patate avec des trous devient vaguement expressif. Humain un peu, semblable à moi pas du tout. À partir de ce moment tout devient un affinage très progressif. Chaque geste doit se demander s’il améliore le résultat ou si l’on s’en éloigne. Deux principes sont nécessaires pour que l’opération fonctionne : 1. la ressemblance ; 2. le réalisme.
Si le portrait ne me ressemble pas, il ne passera pas à la mairie. Si l’image n’est pas photoréaliste, les employés de la préfecture seront au mieux perplexes, au pire hilares devant une caricature ratée d’un personnage de dessin animé. Appliquer la texture est l’étape clé suivante, celle qui déterminera la faisabilité de ce projet absurde. On « enveloppe » une photo composée de parties de mon visage, sur le volume. On peint par projection un bout d’oreille, de nez, sur le modèle que j’espère être suffisant. De nombreux procédés existent pour les cheveux, ici on « plante » littéralement un grand nombre de tiges, que l’on va coiffer ensuite avec les outils du logiciel.

Cependant, les deux grands obstacles de ce travail précis sont toujours les mêmes, les yeux et la peau. Bien que les matériaux extrêmement complexes utilisés par les professionnels pour rendre les différentes couches de peau sont révélateurs du tour de magie, je n’ai pas ce problème, car je triche avec ma texture projetée. Les yeux, en revanche, restent une tâche impossible. Il faut travailler leur forme en premier, car un œil n’est pas une simple sphère, ce sont des globes avec des iris convexes et concaves. Les textures et matériaux doivent correctement refléter la lumière, et surtout, paraître vivants. Beaucoup de bricolage et d’erreurs finissent par aboutir à un résultat suffisant. Comme dans le film Final Fantasy : Les Créatures de l’esprit (2001) de Hironobu Sakagushi et Motonori Sakakibara, la vallée dérangeante nous hante, chaque geste qui nous rapproche du réel nous éloigne tout autant. Alors commence l’étape de retouches, nombreuses et variées, pour passer d’une masse informe avec des cheveux à, non seulement un visage humain, mais une image qui me ressemble. Il est terriblement difficile de faire ressembler un portrait à soi-même, car nous sommes toujours nos pires juges. C’est à ce moment qu’un regard extérieur est nécessaire. Je confronte l’image obtenue à plusieurs amis qui éclatent de rire devant mon pingouin raté, jusqu’au jour où enfin un autre me dit : « oui c’est un portrait de toi, et alors ? ». L’image est enfin terminée, vient la performance.
L’Activation Inconnue
Quand j’arrive en sueur à la préfecture, je suis étonné que l’employé traitant mon dossier soit pressé et souhaite expédier la procédure. Ayant imaginé ce moment depuis des semaines, je m’attends au pire, mais le rendez-vous dure dix minutes, rien à signaler. Malgré cela, il faut attendre deux mois de vérification et de fabrication de l’objet, durant lesquels je n’y crois pas, me disant que l’image va obligatoirement être refusée. Je vais chercher ma carte, et la complexité sublime des couches cryptographiées réfléchissantes dévoile l’image vide, mon avatar.
Ce geste terminé a été qualifié de « hack » par plusieurs médias, or il ne s’agit pas de cela. Un hack doit trouver une faille d’un système pour reprendre le contrôle, il doit être transgressif, jamais poli. CNI ne prouve qu’une chose : cette action est possible, car elle n’a aucun impact administratif. L’image est une simulation, mais finalement pas plus qu’une photographie. J’apprends dans mes recherches que de nombreux photographes officiels proposent des retouches cosmétiques, ce qui n’est pas bien différent conceptuellement d’une pure fabrication, si l’on pousse la modification de l’image jusqu’au bout. Si l’administration accepte ce mini navire de Thésée dans ma poche, c’est bien que le corps ne compte plus. Les données, elles, ne mentent pas, et Baudrillard est ravi, car le simulacre n’a plus besoin de référent, y compris le mien[6]. Dans l’administration, mon corps n’existe pas, seules mes données ont une valeur. Des formulaires lient mon acte de naissance à ma facture de gaz, Marianne ne regarde même plus si j’ai une moustache ou non.
Ce qui fonctionne ici est simplement un seuil humain. Si l’image ressemble suffisamment, elle n’a pas besoin d’être moi, ou d’une certaine manière elle le devient. À cet instant, je ne comprends pas encore où se situe la performance. Est-elle dans la fabrication de l’image, dans le rendez-vous administratif, ou dans la réception de la carte ? Puisque j’ai déjà montré le portrait et les documents en exposition avant de la recevoir, est-ce cette installation qui est l’« œuvre » ? Si ces moments en font partie, ils ne sont pas son activation, mais je ne comprends cette notion que plus tard, quand je me décide enfin à poster cette histoire et ces images sur Facebook.
C’est au moment où je clique sur publier que la pièce est activée. Par égocentrisme, j’espère un peu de retour sur mon travail, et cette fois les algorithmes sont cléments. CNI peut s’activer comme on le souhaite, mais fondamentalement c’est la diffusion de son idée et sa réception qui en font une performance passive. Le mille-feuille de significations et d’interprétations possibles se dévoile une fois que la presse s’en empare. Positifs ou négatifs, les critiques densifient et noient la véracité floue de cet objet. En effet, si la carte est bien dans ma poche, la seule chose que les potentiels spectatrices et spectateurs voient est mon post, ou dans le cas d’une exposition, la documentation de la pièce.
Ainsi, le titre le plus pertinent de ces articles devient : « Un artiste PRÉTEND avoir fourni un portrait 3D pour sa carte d’identité ». Car comment peut-on savoir si je dis la vérité, même dans ces lignes ?
Le Paradoxe du Menteur
Tout ce que j’écris ici est faux. Si cette phrase est acceptée, elle devient fausse, puis vraie, dans un infini paradoxe récursif. C’est uniquement ce que CNI formule. Ma carte d’identité est simplement un paradoxe, tant que personne ne peut savoir si sa fabrication était « vraiment » « fausse ». L’existence de l’objet lui-même en fait administrativement une vérité absolue, mais valider l’image fabriquée comme telle la rend intrinsèquement caduque. La réalité de mon existence bureaucratique est fusionnée avec sa représentation de faussaire. Mon rêve serait que cette vraie carte soit un moment du faux, qu’elle soit aussi authentique que forgée.
Le nom « Fabre » vient de l’ancien Occitan désignant le forgeron, c’est un des noms les plus répandus en France, l’équivalent de« Smith » au Royaume-Uni, qui lui aussi signifie forgeron. Cerise sur le gâteau, en anglais, faussaire se dit « forger ». Cependant, là aussi, nous sommes dans la vallée dérangeante, à l’objectif toujours inatteignable, de l’objet impossible. CNI ne prouve que son propre échec, du moins l’impuissance des citoyens face aux systèmes imbriqués qui régissent leurs existences. Si Zeuxis et Parrhasios se sont affrontés pour avoir la représentation du réel la plus trompeuse, il n’en reste pas moins qu’une fois l’effet passé, ne perdurent que des pigments sur une toile. Ici, peut-être, l’activation n’est pas dans le tableau lui-même, mais dans le mythe. Mes tentatives de produire des histoires inspirées de ces idées sont aléatoires, car on ne peut contrôler la diffusion des idées, en tant que citoyen, on ne peut qu’en produire et observer leurs effets. La chance pour CNI a été celle d’avoir été virale, propagée. La pièce n’est pas dans l’objet, mais dans l’histoire qu’il inspire aux lecteurs et lectrices. Elle est dans l’espace entre les faits et le fantasme, dans cet espoir d’une magie potentielle. Le magicien Alfred Borden, dans Le Prestige (2006) de Christopher Nolan, dit à son rival Angier que, sans eux, tout n’est que matière, en tapant tristement sur une poutre froide. « It was the look on their faces[7] », répond bien plus tard Angier, mourant. Pendant que Nolan analyse l’extravagance technique, mécanique, de la prestidigitation, pendant que Bowie invoque un Tesla défiant la science pour la magie, nos héros croient. Pour nos personnages, c’est bien l’effet, et non l’acte, qui importe. Ils ont la possibilité de produire une magie, qui, bien que mystifiée, produit une émotion absolument réelle. Cette émotion ne peut être niée, retirée, fact-checkée. Elle est ressentie, ainsi elle existe. L’objet peut partir en fumée, le « truc » peut être révélé, l’émotion aura existé, quoiqu’il arrive. Je ne souhaite pas, en tant que spectateur, toucher le tableau de Parrhasios. Je souhaite l’émotion qui vient de la brèche, cette infime, faible, possibilité, qu’un instant le rideau ait pu bouger.
Il est possible d’argumenter que l’objet existe néanmoins, donnant une physicalité au paradoxe. Dans le fabuleux Confessions d’un faussaire[8], d’Éric Piedoie Le Tiec, le facétieux dandy explique en détail comment il a produit des centaines de faux César pendant des années, allant jusqu’à son emprisonnement. Là vient la touche du maître, intransigeante et finale : les œuvres ont toutes été authentifiées par les ayants droit de César. Il est ainsi impossible, aujourd’hui, de savoir, lorsque vous voyez un César, s’il est de l’artiste historique ou un original du savant Piedoie. Aussi, comme dans nos mythes borgésiens aux sens récursifs, les lecteurs peuvent se demander, lors d’une rencontre émouvante avec un James Baldwin malade, si l’auteur Éric, capable des plus grandes mystifications, n’aurait pas tout autant inventé son histoire.
CNI, dans cet esprit, n’est pas un braquage. Elle n’aboutit pas au succès d’avoir déjoué des mécanismes, car elle ne fonctionne qu’en s’insinuant confortablement dans des espaces déjà possibles, ou insignifiants. Ce que j’espère, en revanche, est qu’elle produise ce moment suspendu où la possibilité seule provoque un peu de magie.
Privilège Administrateur
Il est nécessaire de se demander qui est représenté dans cet objet. Un homme blanc, né en France, aisé. Il m’est possible de faire cette tentative, car en prenant tout en compte, je ne risque rien. Je ne peux pas être déporté, car je suis né ici, ma famille ne peut pas être menacée parce qu’elle m’accompagne sur les visas. Le simple fait de produire ce geste est dérisoire face aux millions de personnes souffrant de l’administration migratoire implacable de nos pays occidentaux. Il ne prouve d’un aspect systémique que l’existence de mes privilèges. En 2017, les discours néo-fascistes anti-immigration étaient déjà très présents, avec la construction de ICE[9] aux États-Unis ou l’islamophobie vis-à-vis des réfugiés en Europe.
Aujourd’hui la situation est intenable et nos fausses démocraties s’effondrent, mettant en valeur les points de rupture de nos institutions comme autant de talons d’Achille illusoires. La facilité avec laquelle ma « stunt[10] » est passée ne met en valeur que l’injustice flagrante, fondamentalement déséquilibrée, de nos systèmes civiques. Comment notre Moloch omniscient peut d’un côté laisser passer un portrait aussi risible, et de l’autre cadenasser les peuples dans d’interminables tortures bureaucratiques ?
En 2017 j’ai néanmoins consulté un avocat : « faux et usage de faux » pouvant être puni de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende. Ma conviction, à ce stade, c’est la zone grise de la définition d’une image. Un système étatique ne recherche pas la vérité oula cohérence, mais l’obéissance. Aveugle, brutale, idiote, l’obéissance aux codes stricts et arbitraires de la préfecture est plus importante que le droit d’exister, que la présence corporelle indéniable d’une famille face à un agent. Il ne faut pas sourire sur cette photo, il ne faut pas non plus froncer, il faut être neutre. Un fait, il faut correspondre aux critères. Droit, face, inexpressif, docile, et finalement, blanc, du moins « national », si l’on en croit les discours fascistes dédiabolisés.
Le catalogage des identités s’est industrialisé au fur et à mesure, établissant une hiérarchie rigoureuse et précise des classes et ethnicités. Récemment, l’actrice trans Hunter Schafer s’est vu attribuer la lettre « M », pour « Male », sur son passeport américain, en raison des changements dévastateurs de l’administration Trump. Pourtant célèbre et suivie, son identité est ciblée et attaquée de manière arbitraire, parce que l’État le décide finalement pour nous.
Dans le visionnaire jeu Papers, Please[11] (2013), Lucas Pope illustre parfaitement l’arbitraire bureaucratique. Dans un état fictif, ses règles le sont aussi, et les joueurs doivent refuser des individus sous la charte de ces directives fabriquées. Ce que prouve CNI, c’est qu’elle est inutile. L’administration a permis cet objet, car il est inconséquent. Seules les directives comptent, le corps peut attendre. Il est certain, en revanche, qu’elle ne serait pas passée si j’avais souri sur une vraie photographie. Il est fort probable également, qu’aujourd’hui le même tour de passe-passe pourrait se faire avec une image générée par IA. Quelle différence si elle est produite à partir d’une base de données bien réelle, car finalement, la structure administrative trouve parfaitement son reflet dans les databases de MidJourney ou OpenAi.
L’immense frustration du geste est la découverte de notre propre impuissance face aux outils qui nous gouvernent. Il y a toujours eu plus d’impact et de véracité dans un réel faux passeport fabriqué pour entrer, que dans une fausse authentique carte, jouée pour ne pas sortir. Si nous savons que nous ne sommes que des lignes de paramètres dans des tableurs épuisés, l’État, en revanche, continue sa course contre la montre à la cartographie parfaite de nos existences. Peter Greenaway disait que la carte absolue de Borges avait déjà été inventée par Google Maps. On peut avancer qu’elle se poursuit dans les server farms du Midwest. Dans tous les cas, l’abondance exponentielle du signe est, et sera toujours, confrontée à son pendant réel : les corps, infinis et immenses, des luttes physiques intraçables et imprévisibles. Les serveurs de Grok[12] seront toujours confrontés à leur matérialité paradoxale : plus ils existent, et moins de ressources seront là pour les conserver. À l’heure où le géant Palantir[13] s’apprête à ingérer toutes les données des Américains, après s’être entraîné sur la destruction du peuple palestinien, une chose est sûre, les peuples se battront toujours en opposant leurs corps réels aux cartes fictives.
La magie de l’inutile
Si certains médias ont pu percevoir CNI comme une brèche, c’est au final son ineffectivité qui reste à mon sens active. Le phénomène de type « magique » ne s’opère pas comme un résultat mesurable, il doit être au-delà d’une productivité. En existant de manière immatérielle et insaisissable, le tour a son effet d’émotions, qui, à chaque fois qu’il réapparaît, nous rappelle notre profondeur toujours plus grande et substantielle qu’une table MySQL.
Aujourd’hui il n’est pas réellement important de se questionner sur l’intérêt d’une pièce comme CNI, qui n’en aura finalement peut-être plus, il est nécessaire de toujours lancer des tentatives d’ouvertures émotionnelles comme autant de fléchettes humaines sur une cible fixe et froide. Ratées ou non, elles auront existé.
Il y a plus de beauté dans un clown devant une audience déçue que dans la validité de sa carte vitale.
[1] De l’anglais Computer Generated Image. Désigne les effets spéciaux utilisés dans l’industrie cinématographique conçus à partir d’outils d’animation informatiques et d’images de synthèse.
[2] https://www.youtube.com/@TheAntropusChannel
[3] https://www.instagram.com/blu1304/?hl=fr
[4] Logiciel de conception et d’animation 3D : https://www.blender.org/
[5] Logiciel de modélisation 3D : https://www.maxon.net/en/
[6] Voir Jean Baudrillard, Simulacres et simulations, Paris, Galilée, 1981.
[7] « C’était le regard sur leurs visages ».
[8] Éric Piedoie Le Tiec, Confessions d’un faussaire. La face cachée du marché de l’art, Paris, Max Milo, 2019.
[9] United States Immigration and Customs Enforcement, agence de police douanière et de contrôle des frontières du département de la Sécurité intérieure des États-Unis.
[10] « Acrobatie », en anglais.
[11] Au sein d’un État imaginaire appelé Arstotzka, Papers, Please met le joueur dans la peau d’un agent de l’immigration chargé de contrôler les documents de migrants. Le jeu se veut une critique des totalitarismes.
[12] Chatbot d’intelligence artificielle générative développé par xAI.
[13] Entreprise de services et d’édition logicielle spécialisée dans l’analyse et la science des données